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En prenant l'initiative de ces démolitions, la Ville a clairement affiché sa volonté de répondre aux attentes des Stéphanois, soucieux de voir leur cadre de vie amélioré et l'attractivité de leur ville renforcée. Ces opérations ont permis d'effacer des friches industrielles, comme celle dite du "Progrès", rue Bergson, des bâtiments dégradés ou des logements sociaux inadaptés (comme la Cité Bonnassieux à Solaure).
Ces démolitions permettent de libérer de nombreux espaces pour le développement de nouveaux projets résidentiels, commerciaux, d'activités ou de loisirs. Un travail mené en collaboration avec des partenaires tels qu'Épora, l'Établissement public de l'Ouest Rhône-Alpes, la société d’économie mixte Cap Métropole ou encore l’Épase, l'Établissement public d'aménagement de Saint-Étienne.
La Ville de Saint-Étienne ne s'est pas contentée de démolir. Elle a surtout préparé le terrain pour bâtir son avenir. Les projets réalisés sur des tènements démolis ont apporté une nouvelle dynamique, avec des impacts visibles dans tous les quartiers.
De la métamorphose complète du quartier Châteaucreux aux 100 M€ d'investissements privés le long de la 3e ligne de tramway, en passant par les nouveaux logements de la place Jean-Moulin, chaque initiative a contribué à rendre Saint-Étienne plus agréable à vivre et à travailler. Et à embellir significativement le paysage urbain.
Dans la densité du tissu urbain, les démolitions permettent parfois d’apporter des respirations. Elles aèrent la ville. L'aménagement de l'îlot Rondet-Tarentaize (notre photo ci-dessous), celui du quartier des Hauts de Terrenoire ou encore la création du jardin Eden, 2 000 m2 de végétation à 50 mètres de l’Hôtel-de-Ville (l’équivalent de la place Dorian !)... Ces projets sont plus que des démolitions. Ce sont des initiatives qui ouvrent la ville vers plus de verdure, et qui enrichissent la qualité de vie des Stéphanois.
chantiers de démolition entre 2014 et 2024 sur le territoire de la Ville de Saint-Étienne