Pour une aide psychologique à Saint-Étienne

Un dispositif pour tous, à partir de 11 ans

Gratuit et confidentiel, ce service est accessible à toute personne à partir de 11 ans confrontée à des difficultés psychologiques : mal-être, relations conflictuelles, décrochage scolaire ou professionnel, comportements à risque. 

Trois psychologues assurent les consultations, sur rendez-vous et peuvent apporter, ainsi, une aide psychologique.

"La santé mentale n’est pas un sujet tabou, c’est une souffrance et une fragilité qui nous concerne tous", souligne Gaël Perdriau. "Face aux bouleversements que nous traversons, notre responsabilité d'élus est claire : nous devons agir, protéger, accompagner."

Étaient également présentes, au côté de Gaël Perdriau, Nadia Semache, adjointe au maire chargée de la santé, du handicap, du plan cancer et Laura Cinieri, conseillère municipale déléguée à la santé. Toutes deux ont porté ce projet de santé publique, de son étude jusqu’à sa réalisation et sa mise en place opérationnelle, en passant par son vote en conseil municipal, en septembre dernier.

"Face aux bouleversements que nous traversons, notre responsabilité d'élus est claire : nous devons agir, protéger, accompagner", insiste Gaël Perdriau.

Un engagement durable pour la santé mentale et l'aide psychologique à Saint-Étienne

Ce dispositif s'inscrit dans la continuité de "Sainté Psycho", mis en place durant la crise sanitaire pour accompagner les jeunes. Entre 2021 et 2022, 1 700 entretiens avaient été réalisés. 

"Le succès de cette initiative nous a convaincus de la nécessité de pérenniser cette action et de l'étendre à tous les Stéphanois, quel que soit leur âge", précise Gaël Perdriau.

Mieux ! Le Point d'écoute « Sainté et sa couronne" intègre, comme son nom l’indique, des permanences dans l’Ondaine, le Gier et la Plaine du Forez. " Cette organisation témoigne de notre volonté de partager l’expertise et le savoir-faire que la ville de Saint-Etienne a su développer avec l’ensemble du territoire métropolitain », poursuit le maire de Saint-Étienne. 

Le dispositif est soutenu par l’Agence régionale de santé (ARS) à hauteur de 120.000 € et Saint-Étienne Métropole à hauteur de 20.000 €.