Échelle, poutre de bois au-dessus du vide, pont de singe… et tyrolienne
La via ferrata « enfants » avalée, lancez-vous dans son prolongement, sur le parcours « adultes ».
Les barreaux d’acier, solidement ancrés au rocher, montrent le chemin. Ils sont évidemment intelligemment disposés pour vous permettre de progresser. S’il n’y en a pas, c’est que la paroi vous offre de quoi prendre appui. Il suffit de trouver où ! Sur l’itinéraire de Saint-Étienne, la difficulté ne réside pas tant dans l’ascension (pour cela, il suffit de grimper à l’échelle) mais dans les nombreux cheminements à l’horizontal sur une paroi toute verticale. Certains passages vous occasionneront de belles transpirées, d’autant que le parcours vous réservera quelques surprises.
Ici, une poutre de bois à traverser sur 4 mètres, suffisamment large dans l’absolu, mais qui devient ridiculement étroite avec 100 mètres de vide dessous ! Là, un pont de singe bien trop mouvant pour un humain ou un pont de rondins bien instable !
Là, encore, un simple câble pour passer d’une paroi à une autre, qui vous met dans la peau d’un funambule, même si un deuxième câble disposé à hauteur d’homme, aide à garder l’équilibre.